Livre de poche, 1998
128 pages
Nouvelles, sentiments, amour, Vienne, rencontre
Deux nouvelles se déroulant à Vienne.
Printemps au Prater, raconte l’histoire de la promenade d’une courtisane qui s’octroie une parenthèse dans sa vie.
Dans La Scarlatine, on suit un étudiant, fraichement arrivé à Vienne, dans son apprentissage de la vie et de la passion.
Un lecture agréable mais principalement pour le style, toujours aussi enthousiasmant de l’auteur. J’adore l’écriture de Zweig et avec l’arrivée du printemps, j’avais découvert ce livre et m’était dit que ce serait une bonne lecture de saison. Je l’ai acheté pour la première nouvelle et c’est au final la seconde que j’ai préféré. Il s’agit d’oeuvres de jeunesse et elles ne sont peut-être pas assez abouties mais on y trouve déjà le style de l’auteur.
J’ai aimé :
– le style magnifique de l’auteur qui décrit les émotions de ses personnages avec justesse et poésie.
– le protagoniste de La Scarlatine. Ce jeune étudiant arrive à Vienne avec des rêves et des ambitions mais se rend compte que les choses ne se passent pas forcément comme on le prévoit. Il fait la connaissance de son voisin, qui devient comme un mentor pour lui, et ne l’entraine pas forcement dans la bonne direction. J’ai donc aimé ce personnage pour son innocence, sa soif de découverte et son envie de s’intégrer.
Ce n’est malheureusement pas une lecture qui me laissera un bon souvenir, rien ne m’a réellement déplu mais je n’ai pas accroché; et même si c’est une déception, j’aime toujours autant cet auteur et je continuerai de le lire.
Et vous, que pensez-vous de Stefan Zweig ? Avec vous lu ce livre ?
Je vous souhaite de belles lectures 🙂
Chronicroqueuse de Livres 